quand je pars je me retrouve toujours
La madame que j’écoute qui me garde zen sur youtube raconte qu’on a beau partir à l’autre bout du monde, on se retrouve quand même avec soi. Moi, en général, ça m’arrange parce que je commence à m’amuser drôlement avec mes idées folles et parce que, pour l’instant, après les 8 mois d’enregistrement, production, promotion de Feu d’grand vent ( download // spotify ) , j’ai besoin justement de savoir elle en est où Sophie.
Le diagnostic est tombé après seulement trois semaines et les nouvelles sont bonnes:
J’AI ENCORE ENVIE DE FAIRE PLEIN DE CHOSES !!!
Entre autres…
- enregistrer un autre album avec 4 compositions que j’ai déjà et qu’il me faut peaufiner, et puis quelques covers aussi. Mettons Fin 2018 ou 2019.
- faire du cheval
- apprendre à surfer
- faire des handstands et plus d’acrobaties
- des collaborations avec d’autres artistes
- marcher sur plein de sentiers dans les montagnes et partir pour plusieurs nuits
- refaire du chant classique
- jouer de la guitare
- sourire et apprécier ce qui m’entoure
Bref, pleine de mes nouvelles résolutions qui, heureusement, ne sont pas très éloignées de mon point d’action actuel, je suis partie et tout se passe bien. Je vous laisse sur un texte qui m’est venu un peu avant de prendre l’avion Montréal – Keflavik – Paris avec ma bronchite . J’étais pas mal fière. pour une fois, de laisser la chambre chez mes parents en “ordre”.
J’suis partie sans nettoyer derrière moi
le coeur en cage, les yeux ouverts, crinière dans le vent
dans ma valise, des rêves trop grands.
La même tête lancée sur un autre continent
Fallait cleaner derrière pour qu’on en fasse autant devant.
J’suis partie sans ramasser derrière moi.
Le coeur en cage, l’espoir din dents,
J’arrive dl’autre bord, qu’est-ce qui m’attend?
Sont partis dans la même fièvre,
Le diable au corps, à ch’val su’l vent.