on s’instalait en face d’un(e) ami(e)
on disait simultanément
Wa-wa-wess !
on décidait si on shootait l’autre, si on rechargeait notre gun, ou si on se protégeait
Wa-wa-wess !
Wa-wa-wess !
I was five and he was six,
we rode on horses made of sticks,
he wore black and I wore white,
He would always win the fight.
Bang bang
Notre jeu à nous était plus le fun que celui de Nancy ça a l’air, parce que des fois je gagnais.
Wa-wa-wess !
Wa-wa-wess !
J’brûle des miles,
J’mange du gas
l’Mid-West des États de long en large
et j’entends
Wa-wa-wess !
L’air est sec, tout est piquant.
J’me shoote au virtigineusement grand
Wa-wa-wess !
(je garde sous quasi-silence mon expérience radiophonique duocrhome:
chansons de cowboys et stations de Jésus, Dieu ait son âme. )